« Le feel good management, ce n’est pas uniquement organiser des fêtes » – Le nouvel Observateur

A la mode chez nos voisins allemands, la profession de « feel good manager » a été créée pour veiller au bien-être des travailleurs. Poudre aux yeux – pour mieux exploiter les employés – ou réelle innovation ?

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A voir si c’est de la poudre aux yeux ou non mais dans le principe c’est intéressant de travailler sur le sujet.

VIE AU TRAVAIL – L’open space va-t-il tuer le jeune ? | Big Browser

Ainsi, dans une analyse recoupant une centaine d’études sur le sujet réalisée en 2011, le psychologue américain Matthew Davis soulignait que des niveaux de stress plus élevés étaient régulièrement observés chez les salariés en open space, ainsi que de moindres niveaux de concentration et de motivation. Le bruit paraît être le facteur le plus important dans ces observations.

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Tiens tiens, l’openspace encore critiqué. Ces derniers temps je me demande si l’openspace n’est pas surtout un moyen pour l’employeur de réduire l’investissement dans les locaux et réduire au minimum le nb de m² par collaborateur.
Après c’est vrai qu’il y a une bonne ambiance en général (quand les équipes sont bien) mais que c’est plus dur de se concentrer. Pour avoir vécu les deux je ne suis pas sur de savoir ce qui est préférable…

Les programmeurs ne sont pas des branleurs ! – Framablog

Le travail intellectuel des programmeurs souffrirait-il d’un manque de visibilité et de reconnaissance aux yeux d’une logique managériale qui cherche à mesurer le travail effectif avec des critères dépassés ? C’est ce que laisse entendre ce témoignage qui au détour d’une plaisante anecdote met l’accent sur un relatif malaise d’une profession qu’il est difficile de cerner de l’extérieur, et même de l’intérieur d’une entreprise.

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TL;DR (pour l’instant). Mais j’ai bien l’impression que cela touche un sujet qui me parait pertinent surtout en france. J’en veux pour preuve cet autre article.
Si t’es pas passé manager, t’as raté ta carrière ! Ou pas, c’est juste de la sombre idiotie. Je dirais même qu’on sous estime grandement l’importance des développeurs en général et surtout ceux qui on suffisamment d’expérience pour être de haut niveau.
Autant sinon plus que le manager ou le chef de projet, ce sont eux qui font la réussite ou l’échec d’un projet dans le temps et les  charges optimales.

Management : éloge de la …fragilité

Le culte de la performance statistique nuit à la performance réelle
Organisation hiérarchique, revues de personnel, objectifs à deux chiffres, le culte de la performance statistique est tellement au cœur du management qu’il brouille notre relation à la performance réelle.

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Un petit article qui a le mérite de traiter le sujet des méthodes de management actuelles dans les grandes entreprises sous un œil différent. En effet, si le culte de la performance statistique n’était à long terme que contre productif ?
Ce qui est dommage c’est que cet article aborde un sujet intéressant mais tombe très vite dans une espèce de banalité langue de bois version humaniste et éloge de la fragilité. On parle pour ne rien dire à part des concepts généralistes qui noient le poisson. C’est le genre de discourt ou tout le monde hoche la tête et puis se quitte avec une pseudo satisfaction mais au final sans aucune action concrète.
Quand au rôle du DRH, seule ombre de solution abordée, je la trouve étonnante. Dans l’entreprise, je n’ai jamais trouvé que la RH avait un quelconque pouvoir. Elle ne fait tout simplement pas parti de la chaine de management et est encore moins proche au quotidien des collaborateurs que les managers de premier niveau.