Répression des libérés de la sécu : lettre ouverte à Mme Orliac, députée du Lot | Contrepoints

Je viens de lire l’amendement que vous et votre groupe du Parti radical de gauche avez fait voter à l’assemblée nationale pour punir les citoyens français qui ont choisi de s’assurer ailleurs qu’aux régimes de sécurité sociale français, je cite : « Toute personne qui refuse délibérément de s’affilier ou persiste à ne pas engager les démarches en vue de son affiliation à un régime de sécurité sociale sera punie d’un emprisonnement de six mois et/ou d’une amende de 15.000 euros. »
Sachez que votre amendement, dès le départ, ne changera rien à la situation actuelle, puisque sa rédaction, tout comme celle du code de la sécurité sociale, évoque ceux qui refusent de s’affilier à « UN » régime de sécurité sociale. Or tous ceux qui fuient aujourd’hui la sécu française se sont tous affiliés à un régime de sécurité sociale, mais hélas ce n’est pas le vôtre… Juridiquement votre amendement est comme un rond dans l’eau du Célé… Car vous savez très bien que ce qui est obligatoire, c’est de prendre une assurance-maladie, pas de s’assurer auprès d’une assurance-maladie pré-déterminée par l’État français. Ça, l’Europe l’interdit formellement… Croyez-vous qu’un Hollandais qui vient créer son activité en France, avec 20 ans d’ancienneté dans son assurance privée, avec un tarif raisonnable et un bonus, va la quitter pour se faire tondre par l’Urssaf ? Pensez-vous vraiment que les Pères fondateurs ont créé l’Europe pour que leur belle idée soit dévoyée aujourd’hui par les tenants d’un monopole désuet et coûteux ? Et enfin croyez-vous que vous allez faire peur à tous ceux qui n’ont plus peur de vous ?

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Prison, sans déconner. Et avec ça on espère renouer le lien entre gouvernants et gouvernés ?
Quand au geste désespéré pour empêcher, par la violence, le système de s’effondre ça a toujours été une connerie. Dans la vrai vie, on réforme, on rend compétitif, on s’adapte pour pas mourir.

Sylviane Bulteau (PS) veut restreindre les ventes de particuliers à particuliers | Contrepoints

La députée de Vendée dénonce la « concurrence déloyale » des citoyens qui commercent directement entre eux sans passer par des agences immobilières.

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-__________________- C’est une blague non ? Hein, hein. C’est avant la taxe pour parler avec quelqu’un c’est ça ? Jusqu’où les élus peuvent aller dans les idée improductive voire navrante me choque plus chaque jour.
Et non, chère Sylviane, votre réponse n’en est absolument pas une.
L’argument de la sclérose du débat et vrai. Oui les politiques sclérosent le débat avec leurs idées navrantes, contre productives et à côté de la plaque. On en a des caisses comme ça par jour, à tel point que plus rien de positif ne semble pouvoir sortir de ce milieu.
Quand a la théorie du mouton noir qui abuse du système, on la connait bien cette rengaine de la lutte du terrorisme qui justifie de pourrir et surveiller tout le monde.
Bref… -_____-
 

Taxe sur les cartouches d’encre et toners ? « Pas d’actualité » selon le ministère

Rétropédalage ou simple clarification ? Quoiqu’il en soit, la mesure ne semble pas pour autant écartée mais seulement incluse dans une « réflexion à long terme ».
Une taxe qui arriverait à point dans un marché qui a vu le prix des appareils d’impression et de reproduction baisser, tandis que celui des cartouches d’encres et autres consommables a subi d’importantes hausses ces dernières années.

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Mouais ou ballon d’essai moisi.

Mais bien-sûr : une (deuxième) taxe sur l’encre d’impression pour financer le centre national du livre – Le Hollandais Volant

Ils ne savent plus quoi inventer, au gouvernement.
La ministre veut une taxe (de plus, car il y en a déjà une, en fait) sur les consommables d’impression pour financer le centre national du livre.
La bonne blague.
C’est pas comme si l’encre d’impression était déjà trois fois plus chère que le Chanel n°5, deux fois plus chère que le sang humain (celui des hôpitaux), 1000 fois plus que l’essence et ainsi beaucoup plus que pratiquement n’importe quel autre fluide.

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