« Le monde semble aujourd’hui anxieux et divisé et Facebook a beaucoup à faire — que ce soit protéger nos communautés des abus et de la haine, nous défendre contre les tentatives d’interférence des états ou être sûrs que le temps passé par nos utilisateurs sur Facebook est du temps qu’ils ne regretteront pas ». C’est, en somme, le résumé de tous les problèmes qui ont miné l’année du réseau social : son incapacité à endiguer le discours de haine (quand il n’est pas passé pour un de ses moteurs), son rôle au service de la propagande des états (on pense à l’élection de Trump et à l’ingérence russe) et l’idée, toujours plus présente, que les réseaux sociaux ne sont plus des outils pratiques, mais des voleurs de temps.
Source : Le défi de Mark Zuckerberg en 2018 ? Réparer Facebook – Tech – Numerama
Très intéressant. Il est assez intéressant de voir que le patron de Facebook est capable de prendre du recul sur son entreprise et ce dans quoi elle nage au quotidien. Bon après il ne faut pas être naïf, c’est sans doute aussi pour le bien de son entreprise de trouver un moyen de redorer son image. Mais peu importe, je prends 🙂