Par ou commencer? Deux questions me viennent à l’esprit. La première, on me la pose souvent: c’est « est-ce que tu es en couple »? Ce à quoi je réponds habituellement: « bllbblggmfff ». La deuxième, c’est moi qui la pose: « pourquoi tu es en couple? ». Je n’ai jamais eu de réponse satisfaisante. Habituellement, on me répond « bllbblggmfff », « shlugnbvdlf » ou bien encore « PARCE QUE JE SUIS TROP AMOUREUUUUXSE », ce qui revient à peu près au même.
via Contre le couple | Les Questions Composent.
Décidément, auteur très intéressant. Tout comme cet article (un peu en lien d’ailleurs). Il faudra que je continue de creuser un peu ce site…
Je partage beaucoup cette analyse. J’y mettrai un petit bémol cela dit qui rejoint un peut ce que je disais à propos de l’autre article.
Il s’agit de la notion de dépréciation des gens qui agissent dans LEURS intérêts. Ça me parait franchement réducteur puisque je suis convaincu qu’on ne fonctionne tous que de cette manière. On est juste faits comme ça, agir dans son intérêt, ne serait-ce que pour survivre (ce qui a peut-être moins de sens ou du moins un sens plus complexe aujourd’hui qu’il y a des milliers d’années)…
D’ailleurs on voit bien ce paradoxe dans l’article. Chaque partie parle de SES intérêts (le cheval, le cavalier, l’homme, la femme, …) ! C’est aussi applicable aux relations, y compris les relations amoureuses. Le tout c’est de faire avec et trouver une relation qui fasse converger les intérêts.
Oui le bonheur de l’autre peut être aussi un centre d’intérêt important (autant pour soi que pour l’autre).
Pour moi il ne faut pas déplorer que quelqu’un agisse dans son intérêt. Il faut juste que cela se fasse dans la transparence, le respect et l’intérêt réciproque / mutuel. Avec bien sur un certain équilibre / une certaine réciprocité. Bref il faut trouver le bon accord ce qui est largement difficile. Il faut souvent accepter des compromis à son idéal pour y arriver d’ailleurs.
Une autre manière de dire (un peu fleur bleue) les choses serait de faire en sorte que satisfaire l’intérêt de l’autre revienne aussi à satisfaire son propre intérêt.