Le code source de Seenthis est disponible – LinuxFr.org

Seenthis. Sous ce nom barbare se cache en fait un Twitter à la française ou plutôt un système de billets courts (« short-blogging »), sans limitation de caractères, mais avec un intérêt tout aussi important (et vous pouvez le déployer/gérer chez vous en ces périodes de #PRISM). La barrière des 140 caractères est ainsi franchie.

via Le code source de Seenthis est disponible – LinuxFr.org.
O_o
Un clone de twitter libre ? O_o Qui a l’air bien foutu en plus ? Mais POURQUOI j’en ai jamais entendu parler ??? Il semble basé sur SPIP un moteur de publication qui date de pffouuuu d’aussi loin que je me souvienne. Le choix peut paraitre étonnant mais pourquoi pas après tout surtout que j’ai trainé un peu sur le site et cela semble pas mal foutu !
Manquerait plus qu’ils développent un coté décentralisé à la diaspora et ça serait top 😀
Moi qui suis pour la liberté et l’auto hébergement c’est à tester je dirais !

WP to Twitter à l'essai

WP to Twitter.
Cela faisait un moment que j’utilisais ce plugin pour la connexion avec les réseaux sociaux.
Dans l’absolu cela faisait ce que je lui demandais mais je n’en était pas plus satisfait que cela et surtout cela impliquait de se connecter à twitter & co via leur application.
J’ai donc décidé de faire le ménage et d’essayer autre chose comme WP to Twitter qui au moins a le mérite de nous faire créer notre propre application sur twitter pour publier.
Affaire à suivre.

Gérer son identité numérique

C’est peut-être du à l’age mais depuis toujours (ou du moins depuis que cela existe), j’ai refusé de m’inscrire sur twitter, facebook & co. Google+ faisant un peu exception puisque je suis sur Gmail depuis toujours, je n’ai donc pas trop eu le choix.
J’ai tout un tas de raisons pour cela, entre autres la gestion de ma liberté. Comme dirait quelqu’un de mon entourage (bisou !), si tu ne payes pas un produit c’est que c’est toi le produit. Or je n’ai pas envie d’être le produit, tout comme je n’ai pas envie qu’on m’espionne à longueur de temps. Je ne suis pas naïf, je sais bien que je ne suis pas totalement anonyme et libre, loin de là. D’ailleurs, Korben en parle un peu notamment suite à la lecture du livre de Julian Assange. Mon but est surtout de ne pas faciliter la tâche et de ne pas avoir des infos perso (autre que le classique nom prénom & co) qui circulent (c’est d’ailleurs aussi pour cela que vous ne trouverez jamais d’infos sur ma vie perso ou autre sur ce blog par exemple).
Je suis donc historiquement pour développer tout ce que je peux en auto hébergement. Pas mal de personnes comme sebsauvage ou le hollandais volant mettent en avant ce genre de solutions régulièrement dans divers liens et articles. Je ne développerai d’ailleurs pas le sujet ici (peut être une autre fois). Le corollaire de cette démarche était aussi d’éviter absolument de m’inscrire sur facebook, twitter & co comme je le disais au début.
Mais ça c’était avant ! Je n’ai absolument pas changé de philosophie, mais il y a quelques mois je suis revenu brusquement à une réalité : gérer son identité / empreinte numérique. Cela peut sembler très con, mais j’ai un nom / prénom assez peu courant… Ou est le problème ? Tout simple, si vous avez un homonyme qui fait n’importe quoi ou pire, si quelqu’un veut salir votre image : rien de plus facile ! Il suffit de créer / d’avoir les comptes facebook, twitter et autres réseaux sociaux à votre nom et c’est parti…
Alors quand on a des dizaines d’homonymes sur le net ce n’est pas très grave. Ceux qui seront à votre recherche se douteront bien qu’il est possible que la personne et le contenu associé n’ont pas de rapport avec vous. Par contre quand il n’y a personne d’autre que votre homonyme (ou la personne qui veut vous nuire) c’est une autre histoire… Vous pensez que ce n’est pas important ? Détrompez vous, votre empreinte numérique est de plus en plus utilisée. Exemple concret, vous cherchez un travail : il y aura de fortes chances que votre employeur potentiel vous cherche un peu sur le net pour mieux vous connaitre (et apprendre au passage des tonnes d’info perso si vous n’y prêtez pas attention). A partir de là, si ce futur ex employeur tombe sur des saletés à votre nom, il est fort probable qu’il ne donne pas suite à votre CV. Vous pensez qu’il sait qu’il peut se tromper ? Vous pensez que vous pourrez toujours vous expliquer ensuite ? Possible, ou pas. N’oubliez pas qu’il a des dizaines de CV sous le coude et qu’il n’a pas de temps à perdre, parfois le choix se joue à rien. Et puis d’une manière générale, les quolibets prennent toujours bien et vous pouvez ensuite passez une vie entière à vous justifier…
Comment faire pour éviter cela ? Pas le choix, il vous faudra gérer votre empreinte numérique… C’est à dire, exister sur le net, exister sur les réseaux sociaux pour que au moins quelqu’un qui vous cherche tombe sur vous et surtout sur de l’information que vous maitrisez. En conséquence, même si vous refusez comme moi d’aller sur facebook & co, vous vous retrouverez obligé d’y créer un compte.
Donc voilà, j’ai créé un compte facebook, twitter et autre… Et je me trouve bien con de ne pas l’avoir fait avant puisque, étant donné mon age, j’aurais pu le faire à la création même de ces services si j’avais été moins bête. Cela m’aurait évité d’avoir un homonyme sur facebook avec un compte précédent le mien. Mais ce n’est pas bien grave, l’essentiel est d’exister et de figurer en bonne place dans les résultats de recherche.
Du coup, je vais essayer de faire vivre un peu ces comptes principalement en utilisant des outils pour publier depuis mon blog.