Les brêles en anglais vont être contentes, les profs de langue étrangère un peu moins. L’intelligence artificielle pourrait bien les mettre au chômage d’ici peu. Au cours de la deuxième édition de Microsoft Experiences organisée au Palais des Congrès ce mardi, Thomas Kerjean, directeur de la division Cloud chez Microsoft, est revenu sur l’état de l’intelligence artificielle (IA) en France et sur certains cas concrets : « L’enjeu pour nous est d’injecter du deep learning dans tous les produits », souligne-t-il. Dopés à l’IA, les outils de traduction ont fait un tel bon ces dernières années qu’on se demande pourquoi on s’ennuie à aller en cours d’espagnol. Les nouvelles technologies sont capables de briser les barrières de la langue (tant pis pour la patience de Madame Garcia avec les quatrièmes B).
Source : VIDEO. Intelligence artificielle: Et si on n’avait plus besoin d’apprendre une langue étrangère?
Impressionnant, nous atteignons quasiment l’ère des traducteurs automatiques à la volée (je dis quasiment car on est pas encore dans une fluidité hyper naturelle). Ce qui pose beaucoup de questions sur notre évolution. Ce ne seront plus que des passionnés qui apprendront les langues et donc nous devenons de plus en plus dépendants de la technologie.