Développement durable: et si l’avenir passait par les «low-tech»?

Par exemple la désalinisation solaire. En faisant s’évaporer de l’eau de mer grâce au soleil, on récupère de l’eau potable. Mais aussi les « frigos du désert », qui fonctionnent sans électricité, là encore grâce à un système d’évaporation utilisé par certains maraîchers dans des pays chauds. On peut également citer la culture de la spiruline, une algue connue pour ses vertus nutritives, produite à Madagascar pour lutter contre la mal-nutrition. Ou encore l’hydroponie, un mode d’agriculture hors-sol utilisé notamment au Cap-Vert et qui permet de faire pousser des plantes avec une faible quantité d’eau.

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Je trouve cette démarche excellente et pleine d’intelligence. Oui le high-tech apporte beaucoup mais il n’est pas disponible pour tous, il est fragile, il est complexe, il ne dure pas, coûte cher et consomme beaucoup de matières premières souvent rares. On ne peut pas baser tout notre avenir et notre progression seulement sur le high-tech.