Les intelligences artificielles sont-elles sexistes ? Des spécialistes nous répondent – Politique – Numerama

Les biais humains des algorithmes sont de plus en plus pointés du doigt. Créées massivement par des hommes, les intelligences artificielles reproduisent des schémas du passé. Rencontres avec des spécialistes de la question.

Source : Les intelligences artificielles sont-elles sexistes ? Des spécialistes nous répondent – Politique – Numerama
En l’état actuel des choses il faut cesser de penser que les ia seraient forcément meilleures que les hommes. Elle sont juste concues par les hommes qui n’ont pas manqué d’y introduire leur biais qu’ils le veuillent ou non. D’ailleurs pour moi c’est inévitable. Qu’il y ait parité de femmes ou non. On peut au mieux diminuer le nombre de biais (et encore je me demande si on ne fait pas le cumul de tous…) mais jamais les éviter totalement.

Projets numériques : 4 facteurs d'échec | Les Echos

Un tiers des entreprises à travers le monde ont déjà abandonné un projet numérique au cours des deux dernières années. C’est ce que révèle la vaste enquête « The Digital Transformation PACT », menée par Fujitsu dans treize pays du globe, dont la France et l’Italie, auprès de 1.625 dirigeants de moyennes et grandes entreprises des secteurs public et privé. Tous les personnes interrogées avaient réalisé un projet de transformation numérique ou avaient exprimé leur volonté de le faire prochainement. Au final, leurs échecs en la matière leur auront coûté en moyenne 423.000 euros. Pour plus d’un quart de l’échantillon, ce prix s’est même élevé à 555.000 euros ! Pis, deux dirigeants sur trois (66 %) expliquent que le coût des revers subis retarde le processus de transformation de leur société.

« Les entreprises parviennent difficilement à réunir les quatre éléments stratégiques nécessaires à la transformation digitale : les personnes, les actions, la collaboration et la technologie », analysent les auteurs de l’étude.  « Mettre en oeuvre la transformation digitale ne se résume pas aux seules avancées technologiques ». Les experts dégagent quatre facteurs d’échec fréquents, et insistent sur la nécessaire co-existence des bonnes compétences, mais aussi sur la qualité des partenariats.

#1 Un manque de compétences

La grande majorité (90 %) des dirigeants d’entreprise estiment prendre des mesures pour développer l’expertise numérique de leurs employés. Cependant, 70% d’entre eux admettent que leur organisation souffre d’un manque de compétences  en la matière. Et 80 % déclarent même que cette carence constitue le plus grand obstacle pour lutter contre la cyber-criminalité. Il n’est donc pas surprenant que la quasi-totalité des dirigeants (93%) juge que le perfectionnement des compétences « digitales » sera déterminant pour le succès de leur entreprise d’ici à trois ans. Ils sont toutefois un peu moins nombreux (83 %) à penser que l’intelligence artificielle transformera les compétences requises, d’ici à 2020.

#2 Des projets déconnectés de la stratégie commerciale

Neuf dirigeants sur dix affirment que leur organisation dispose d’une stratégie numérique clairement définie. Si 83 % d’entre eux se disent confiants au sujet de sa bonne compréhension par tous les échelons de l’entreprise, près des trois quarts indiquent que les projets numériques entrepris ne sont pas toujours en phase avec la stratégie commerciale globale. Par ailleurs, 72 % affirment que la réalisation de projets « fantômes » constitue le seul moyen d’obtenir qu’une partie de leur organisation puisse produire de l’innovation de manière significative.

#3 Des partenariats fragiles

Dans 63% des organisations, des projets de cocréation ont entrepris avec des partenaires, qu’ils soient experts en technologies (64%), clients (42%) ou start-up (37%). A 79 %, les dirigeants sondés seraient prêts à partager des informations sensibles dans le cadre de ces partenariats mais les trois-quarts indiquent aussi qu’en l’absence de succès à court terme, ils mettraient rapidement un terme à ces partenariats.

#4 Une appréhension face aux nouveaux enjeux

Plus de la moitié des dirigeants interrogés prévoient de recourir à des solutions de cyber-sécurité (52 %) ou d’internet des objets (IoT, 51 %) dans les douze prochains mois. Ils sont un peu moins nombreux à songer à utiliser le « cloud computing » (47 %) ou l’intelligence artificielle (46 %). Enfin, ils sont 86 % à dire que leur capacité d’adaptation sera cruciale pour la survie de l’entreprise au cours des cinq prochaines années.

Source : Projets numériques : 4 facteurs d’échec

Informatique quantique : une nouvelle puce d'Intel laisse espérer une grande avancée – Tech – Numerama

En présentant une puce supraconductrice de 17 qubits, Intel a aussi évoqué ses efforts sur sa nouvelle technique de conception pour ses processeurs quantiques. Des travaux qui rendent plus stable et plus fiable le fonctionnement de ces composants, ce qui est indispensable pour l’informatique quantique.

Source : Informatique quantique : une nouvelle puce d’Intel laisse espérer une grande avancée – Tech – Numerama
Ayé un grand fondeur se met a produire des puces quantiques pour de vrai. Mais dans les faits cela reste inexploitable pour le commun des mortels: entre autres choses, une température de fonctionnement proche du zéro absolu, une très grande fragilité et des applications très spécifiques. C’est assez drôle de se dire que si il y a observation des QBits cela les fait disparaître…

Facebook répond à Google dans la bataille de l'intelligence artificielle – Paris Singularity

Depuis quelques années une technologie appelée deep learning a permis l’émergence d’intelligences artificielles en mesure d’identifier des images, reconnaître le langage oral, traduire une conversation… Si bien que les géants de la Silicon Valley s’efforcent d’améliorer encore plus vite la technologie.

Source : Facebook répond à Google dans la bataille de l’intelligence artificielle – Paris Singularity
Skynet is coming !

Dell, EMC, HP, Cisco : des morts-vivants de la tech « baisés par le cloud » – Rue89 – L'Obs

De quoi construire un mastodonte imbattable ? Pas du tout ! Ce rachat ne devrait en réalité rien régler aux problèmes ni de l’un ni de l’autre. Ce sont des morts-vivants, estime le magazine spécialisé Wired, au même titre que HP et Cisco. Parce qu’on pourrait les ranger dans le club des losers, des « baisés par le cloud ».

Source : Dell, EMC, HP, Cisco : des morts-vivants de la tech « baisés par le cloud » – Rue89 – L’Obs
Pas du tout d’accord avec ça. Ca m’apparait même débile pour reprendre partiellement le vocabulaire du propos d’origine.
Je suis désolé mais le cloud est un outil comme un autre. C’est loin d’être la solution absolue à tous nos besoins. Certaines d’entreprises qui ont migré de manière inconsidérée dans le cloud à tout va en reviennent. Par ailleurs le cloud c’est cher, très cher. Avoir des serveurs dédiés puissants chez un bon hébergeur revient à bien moins cher. Je ne parle pas non plus des soucis de confidentialité, de droit internationnal, de sécurité et j’en passe. Enfin, le matériel, le hardware on en aura toujours besoin et de plus en plus et même ceux qui se sentent plus exister « dans le cloud ».
Donc non HP, IBM, CISCO & co ne sont pas des « baisés par le cloud ». Disons qu’ils n’ont pas pris leur part de ce grand gateau ça oui. Disons qu’ils doivent s’adapter au marché qui évolue. Ca oui.
J’en ai marre des effets de mode débile. Le cloud est un outil comme un autre et on doit l’utiliser à bon escient. Et d’ailleurs il n’a rien de magique et nouveau. Comme souvent dans les effets de mode (ex : AJAX, cloud, …) on oublie qu’il n’y a rien de nouveau. C’est une suite logique de technologies et usages existants.