Si vous ne voulez pas faire comme moi et planter votre live migration de VM sur votre cluster à cause de vos disques synchronisés par DRBD, alors n’oubliez pas de configurer ces disques dans l’interface en les mettant comme shared. C’est ce qui indiquera a proxmox que les données sont déjà synchronisées. Si vous ne le faites pas il essayera de les recopier et vous insultera largement avec un truc comme ça :
Sep 28 17:57:10 starting migration of VM 202 to node 'xxx' (xxx.xxx.xxx.xx)
Sep 28 17:57:10 copying disk images
Sep 28 17:57:11 ERROR: Failed to sync data - can't migrate 'xxx-xxx:xx-xxx-xxx-x' - storagy type 'lvm' not supported
Sep 28 17:57:11 aborting phase 1 - cleanup resources
Sep 28 17:57:11 ERROR: migration aborted (duration 00:00:01): Failed to sync data - can't migrate 'pve-xxxx:xx-xxx-xxxx-x' - storagy type 'lvm' not supported
TASK ERROR: migration aborted
Configurer correctement l'envoi de mail sur son serveur (dédié)
Configurer son système avec postfix (et mailutils quand on utilise ubuntu) n’est a priori pas compliqué du tout me direz vous.
En effet, quand le fournisseur de service mail en face est sympa, vous pouvez balancer a peu près n’importe quoi.
Sauf qu’à l’usage vous vous rendrez compte en analysant vos logs (grâce à logwatch par exemple) que vos envois de mails foirent systématiquement vers certains fournisseurs…
Ils sont méchants c’est pas de ma faute direz vous ? Oui mais non. Il s’avère que pour se protéger un minimum, certains fournisseurs font un certain nombre de contrôles avant d’accepter les mails. C’est tout à fait normal et malheureusement quand on est pas expert, la configuration de base postfix qu’on fait sur un dédié est pour ainsi dire foireuse (d’ailleurs il n’y a pas que postfix en jeu).
Bref, je viens enfin de résoudre aujourd’hui les soucis y compris sur certains fournisseurs récalcitrants.
J’ai mis cela sur le wiki. Bonne lecture si ça peut vous dépanner !
Arthur Hoaro – Blog
Arthur HOARO
Ingénieur IT, web addict
via Arthur Hoaro – Blog.
Un site qui semble sympatique. Notamment le wiki qui contiennent quelques sections intéressantes.
Logwatch sous squeeze et le rapport html KO
Ce n’est pas du tout nouveau mais cela faisait un moment que ça trainait sur certains de mes serveurs. J’ai donc enfin résolu ce problème de rapport logwatch qui ne fonctionnait pas. Cela venait d’un mode html KO dans une certaine version livrée sous squeeze.
J’en ai profité pour faire un petit article sur mon wiki pour pouvoir le réutiliser plus facilement plus tard :).
Autohébergement – Analyser la fréquentation de ses sites web avec Piwik
Comme j’ai installé une nouvelle infrastructure et que j’ai pour principe de ne plus jamais faire confiance aux entreprises du style google, j’ai cherché de quoi analyser le traffic sur les différents sites que j’héberge et la solution awstats que j’avais avant me semblait, bien que sympa, quelque peu dépassée.
Si l’on veut du mieux, il y a google analytics mais comme je le disais c’est exclu pour ma part. Il reste donc l’admirable piwik, qui a le mérite d’être moderne et très bien foutu. J’ai donc mis en place l’outil et je verrai ce que cela donne avec le recul.
Un inconvénient tout de même, piwik impose la mise en place d’un JS sur les sites surveillés alors qu’awstats se base sur les logs du serveur web. Il semble que cela permette à piwik d’être plus performant sur l’analyse. Le gros problème de ce genre de choses c’est que désormais, nombre de plugins de navigateur (style ghostery) bloquent directement ces scripts (parce que c’est du tracking) et faussent donc complètement l’analyse.
Cependant, piwik dispose également de l’option analyse des logs du serveur web, mais cela demande un travail supplémentaire (pas méchant). Cependant cela me permet indispensable de compléter l’analyse JS avec l’analyse des logs du serveur web.
Un avantage par contre, si vous avez de nombreux sites vous pouvez réellement centraliser l’analyse sur une instance piwik distante.
Ah dernière chose, il est possible de rendre l’analyse piwik un peu plus discrète en passant par votre serveur local et un script qui fera office de proxy.