Pour comprendre la résistances des éléphants, les scientifiques ont étudié un gène crucial chez les mammifères dans la prévention du cancer, appelé TP53. De fait, ce gène code pour une protéine, p53, qui « surveille » les cellules. Lorsque l’ADN de l’une d’elles est endommagé, le gène entre en action : parfois il répare les dégâts, d’autres fois il bloque la division cellulaire, d’autres fois encore il provoque l’apoptose, c’est-à-dire la mort cellulaire par autodestruction.
Source : L’incroyable défense des éléphants contre le cancer élucidée – Sciencesetavenir.fr
Excellent ! J’adore la nature a tellement à nous apprendre. Nous pauvres poussières. Je ne connaissais pas non plus le paradoxe de Peto. C’est vraiment intéressant.