La thèse d’un essoufflement de la dynamique expansive du capitalisme a longtemps été confinée dans des cercles d’économistes d’inspiration marxiste, qui n’en ont pas moins nuancé et raffiné la prophétie d’un effondrement final du système sous le poids de ses contradictions.
via Une société sans croissance: la politique à l’heure de la «grande stagnation» | Slate.fr.
Ah, pas tout lu mais dans le principe ça fait plaisir de voir qu’on creuse ce genre d’idée. Parce que je n’ai toujours pas compris pourquoi le principe d’une stagnation n’est jamais abordé. Tabou ? Débile ?
Sans doute un avis d’inculte mais instinctivement n’importe qui comprend que sans nouvelle vague technologique ou truc du genre il semble impossible d’avoir une croissante éternelle.
Même dans la nature, la croissante éternelle semble aberrante. La plupart des systèmes doivent finir par trouver un équilibre.
Et je ne vois pas en quoi avoir un équilibre dans un système ou tout le monde y trouve son compte serait néfaste. Il faut juste que le système évolue assez pour couvrir l’augmentation de la population.
Cela dit entre nous cela me parait néfaste que la population mondiale continue d’augmenter. Ce serait mieux qu’elle finisse pas trouver un équilibre permettant juste son renouvellement.