+1 je te rejoins aussi.
via Julien Dollon | Le code ne necessite pas de commentaires – HowTommy | Liens et actu en vrac – Le Hollandais Volant.
Mouais… Alors oui à 90% sur ce qui est dit. Par contre tomber dans l’extrême 0 commentaire hormis les trucs ultra spécifiques hum hum je dis non non non (d’ailleurs tout ce qui ressemble à de l’extrême je dis non non).
Effectivement je suis peut être historiquement du genre à sur-commenter mon code. Je concède que cela peut vite devenir obsolète. Je suis 100% d’accord sur le nommage des variables méthodes & co et 100% d’accord sur le code simple.
Par contre zéro comment faut pas pousser. Oui les soucis a l’international sont notamment une raison de pas en abuser. Mais bon, sans rire, perso j’aime bien un bout de doc sur une API une librairie etc… Et le minimum qu’on puisse faire et maintenir facilement c’est une Javadoc like… Et oui c’est du comment.
Quand j’utilise un projet, j’aime bien lire une bonne javadoc sur l’API et j’ai pas spécialement envie de m’avaler les 10 000 000 lignes de code pour comprendre ce que je peux faire.
Après oui OK dans le code lui même pas ou très peu de commentaires. J’en ai abusé à une époque, j’en utilise moins. Après aujourd’hui je m’en sers plus pour ventiler mon code. Un peu pour donner un titre a quelques lignes. J’aime pas trop les lignes ramassées qui font un genre de pavé dans ma tronche.
J’en vois venir en disant oui mais ton paragraphe c’est ta méthode tu découpes pas assez. Je dirais oui c’est sur que la théorie c’est de très petites fonctions mais bon en pratique on peut quand même faire un bout de code d’une 20aines de lignes avec différentes étapes. Et après sur découper un problème c’est pas non plus la meilleure solution pour des performances (branchement / débranchement lors de l’execution) et une lisibilité optimale.
En ventilant le code avec des comments en guise de tires, je trouve que le lire est plus simple et visuel. J’ai mes paragraphes, mes titres et hop.
Bon après je ne dis pas que je n’ai plus rien à apprendre. Disons qu’au jour d’aujourd’hui j’en suis la.